Dépistage : ne commettez pas ces 3 erreurs fatales !

Chère lectrice, cher lecteur,

Vous entendez partout que le dépistage est important. Le message officiel est simple : le cancer doit être détecté le plus tôt possible, avant son apparition ou quand les tumeurs sont encore petites.

Et d’un sens, c’est vrai : le premier danger est de se faire dépister trop tard. Cela arrive dans le cas de cancers fulgurants, comme celui du pancréas… et il n’y a pas grand-chose à faire. La science progresse, mais certains cancers « sourds » peuvent croître et s’étendre sans se faire repérer, jusqu’à ce qu’il soit trop tard.

Mais ce n’est pas tout. Le Protocole Micozzi vous révèle deux autres erreurs de dépistage dont on ne parle jamais et qui peuvent vous coûter la vie :

  • Détecter une tumeur inoffensive qui va croître parce qu’on l’a découverte
  • Subir un dépistage dangereux qui entraîne des complications

Bien sûr, je ne suis pas contre le dépistage. Mais je veux vous alerter : certains dépistages excessifs ont des conséquences néfastes. Dans son protocole, Marc Micozzi développe une analyse à contre-courant : il faut arrêter de chercher à « tout dépister », car la plupart des cancers qu’on découvre n’évoluent pas si on les laisse tranquilles.

C’est notamment le cas pour certains cancers de la prostate, qui évoluent si lentement que les malades (souvent déjà âgés) décèdent de mort naturelle bien avant que la tumeur ne devienne problématique.

Le dépistage « trop tôt » a deux conséquences graves : une fois qu’on lui a dit « vous avez un cancer », le patient va angoisser et somatiser, ce qui va nourrir le cancer…

…et les médecins vont à tout prix vouloir soigner une maladie qui n’est pas encore déclarée, quitte à la faire se réveiller ou à endommager l’organisme du malade.

Et il y a encore pire… Certains dépistages, peu importe leur résultat, peuvent vous coûter la vie car c’est la façon de dépister qui est dangereuse !

 

Connaissez-vous le plus mortel des dépistages ?  

Comment ça, un « dépistage mortel » ? allez-vous me demander. Et vous avez raison : c’est totalement contre-intuitif !

C’est d’ailleurs pour cette raison que ce dépistage en particulier est très dangereux.

Depuis quelques années, on le recommande à toutes les personnes de plus de 50 ans sans distinction. Et bien sûr, la majorité de ces personnes n’ont pas conscience du risque qu’elles prennent !

Ce dépistage à haut risque, c’est la coloscopie.

Comment ? La coloscopie ? Mais c’est un examen bénin, de routine !

Je sais. C’est ce qu’on nous répète partout, à la télé, dans les journaux, sur Internet. Malheureusement, ce n’est pas vrai. La coloscopie est un examen risqué car il ne s’agit pas d’un simple scanner ou d’une palpation manuelle.

C’est un examen sous anesthésie générale où un câble souple d’1m50, équipé d’une fibre optique, est introduit dans votre anus et remonte le long de votre côlon pour détecter la présence de polypes, de diverticules, d’inflammations, d’infections ou de cancer.

Et vous l’imaginez… une technique aussi invasive présente d’énormes risques :

  • Lacérations des parois du côlon et du gros intestin
  • Perforation digestive
  • Diverticulite post-inflammatoire
  • Irritation des voies digestives
  • Saignements abondants et hématomes lors de prélèvements

Ces complications sont plus fréquentes qu’on le croit, et surtout, elles présentent un danger de mort non-négligeable. Une perforation digestive qui dégénère peut entraîner la mort. Des lacérations, ou des saignements, peuvent provoquer des infections gravissimes… et je ne vous parle pas des risques annexes, entre l’anesthésie et les maladies nosocomiales – qui s’attrapent plus facilement en cas d’examen digestif.

Je sais que ce n’est pas rassurant. Mais je ne suis pas venu vous annoncer de mauvaises nouvelles, bien au contraire : il existe d’autres techniques de dépistage à la fois meilleures que la coloscopie et beaucoup plus sûres.

Dans son Protocole Micozzi, Marc Micozzi vous révèle les 5 techniques de dépistage qui pourraient être aussi efficaces que la coloscopie… et sans aucun danger !

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Amicalement,

Florent Cavaler